De la thérapie quantique à une forme de sidération de la médecine : un cas de guérison sans médication ni opération chirurgicale (Burkina Faso)

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Seule l’Energie explique tous les mystères inhérents aux phénomènes naturels ou surnaturels humains ; et rien d’autre

Introduction : une vision des phénomènes qui interroge notre paradigme scientifique

     Depuis quelques années, en nous fondant sur une méthode spécifique, nous avons entrepris de longues investigations sur les pouvoirs de notre cerveau. Elles ont donné lieu à la publication d’un double ouvrage récent (2015) chez L’Harmattan. Dans ce livre, Le génie du cerveau humain et ses merveilles, nous avons fait une étude des phénomènes humains et matériels tout à fait novatrice. Ce n’est point une recherche sur la connaissance du cerveau humain, à l’instar des neurosciences qui effectuent des investigations par champs, par portions par zones etc., comme si cet éminent organe était décomposable. Bien au contraire, dans sa complexité, il s’agit de comprendre ses pouvoirs, par exemple, les prouesses des cerveaux quantiques, comme les thérapies quantiques, la prescience etc. Nous explorons les manifestations diverses au passé et au présent de notre cerveau en mobilisant toutes les sciences nécessaires à cet effet. Une telle nécessité nous a conduit à une théorisation de ces phénomènes qui donne naissance à une vision nouvelle de nos modes de connaissance ou de compréhension. En effet, nous nous fondons sur des faits concrets pour accéder à leur conceptualisation.

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De l’Amour comme enchantement du Verbe et de ses illusions

Introduction au désir de comprendre les faits humains, objet de ce site Internet

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    Dans l’approche et le désir de comprendre les phénomènes humains, on peut admettre deux perspectives qui sont en même temps deux niveaux de la connaissance.
D’une part, il y a ce qu’il est convenu d’appeler la vulgarisation ou le sens commun de la culture. Cette culture commune, mis à part tout jugement de valeur, est ce que nous avons tous, et d’emblée, en partage en raison de notre longue période de vie passée dans l’enfance. Nous nous mouvons donc dans des idées répandues par et à travers les sociétés et leur niveau culturel ; et même à travers les individus et les différentes occurrences que chacun de nous peut connaître au cours de sa vie depuis l’école primaire en passant par le collège, le lycée jusqu’à l’université. Et si nous n’avons pas assez de force pour nous libérer de la tutelle ou de l’influence de nos formateurs, ces préjugés dominent notre conscience, en s’y installant comme à demeure. Pire, ils nous font voir autrui à travers leurs prismes déformants que nous considérons comme nos propres pensées, alors qu’il n’en est rien. Nous saisissons au vol ces données de la vie courante, nous nous en approprions sans nous interroger sur la validité, la justesse, la solidité de ces idées communes.
C’est en raison du caractère commun et imprécis de ces savoirs que Descartes a entrepris, dans son Discours de la méthode, de les révoquer en doute pour aller chercher ce qui le constitue lui en tant que personne humaine singulière, authentique, et non pas le simple produit d’une culture, d’une famille, d’un milieu social etc. Etre cartésien consiste aussi à effectuer individuellement une telle démarche pour prendre possession de soi, comme lui-même l’a fait avec élégance. C’est aussi au sujet de cette culture commune aliénante et non fondée que Spinoza parle de connaissances « par-ouï-dire » (Ethique). En effet, les connaissances du premier genre correspondent à la perception sensible dont chacun de nous fait l’expérience au cours de sa vie (je vois, j’entends, je ressens), aux opinions courantes ou connaissances acquises par « ouï-dire », comme le reconnaît Spinoza. C’est le domaine de l’expérience sensible et irréfléchie. Ces connaissances sont partielles et douteuses car nos sens nous trompent souvent, les opinions sont diverses et contradictoires, et l’expérience de la vie est relative à chacun de nous.
D’ailleurs, avant Spinoza, Platon avait montré, dans son Protagoras, le caractère inconsistant des savoirs sensibles et l’erreur des Sophistes, qu’il a dénoncée avec vigueur, consiste à se fonder sur une telle expérience commune pour affirmer que « L’homme est la mesure de toute chose ». La vérité est donc relative à la perception de chaque individu ; et ceci de manière irréfutable. Ainsi, en matière de nourriture, ce qui est bon pour moi peut être amer pour toi. Lire la suite

La suprématie des forces de l’esprit ou science mentalique sur la puissance physique ou militaire

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 Les forces de l’esprit ou science neuronique dans la Fondation

       Isaac Asimov : Terre et Fondation Tome V

I- Les raisons apparentes d’un exil

         Le quatrième volume du cycle de Fondation d’Isaac Asimov s’intitule Fondation foudroyée. Au regard de l’hyper puissance physique de la Première Fondation et des forces inouïes de la psycho histoire de la Seconde, on pourrait s’attendre à une espèce de cataclysmes intergalactiques. Or, l’auteur nous conduit à une toute autre fin ; plus subtile, plus pacifique et plus inattendue. En effet, les deux Fondations avaient atteint des sommets dans leurs sciences et leurs forces respectives. Et puisque ni l’une ni l’autre ne désirait être souveraine chez soi et assumer l’égalité dans la vaste Galaxie, les deux Fondations se sont engagées dans la domination suprême de l’une sur l’autre ; pire, dans la destruction de l’une ou de l’autre afin qu’une seule puisse assurer le règne du Empire galactique.

   Le quatrième volume s’ouvre sur un conflit doctrinal entre le jeune et intuitif conseiller, Golan Trevize, et Madame le maire Harlan Branno. De quoi s’agit-il ? Golan Trevize ne peut concevoir que le plan Hari Seldon conçu depuis le début de l’histoire galactique, c’est-à-dire soit précisément depuis le début de l’expansion de l’espèce humaine dans toute la Galaxie, soit encore en mesure, après tant de siècles, d’être aussi précis dans la prévision du déroulement des événements humains. Après chaque apparition de ce grand savant sous forme d’hologramme, il est toujours en mesure de révéler comment les choses se passeraient dans l’ensemble au cours des temps à venir ; voire d’en apporter des corrections, s’il y a lieu, de telle sorte que le cours de la psycho histoire ne soit pas déviant. C’est pourquoi, les membres de la Première Fondation, instruits dans la science du Plan Seldon travaillent dans le sens des corrections de celui-ci, de sorte qu’ils suivent toujours la logique de son cours. C’est cette logique si précise dans la prévision ou la prédiction des événements futurs proches et lointains qui pose un réel problème à la raison de Trevize. Selon lui, ou bien il y a une manipulation des données de ce Plan, ou bien il est trop parfait. Ainsi, les Premiers Fondateurs, ayant voué un culte à la véridicité de ce plan, en sont venus à le considérer comme un dogme, une doctrine quasi religieuse par rapport à laquelle on ne transige pas. Or, Madame le maire Branno étant elle-même dans une telle posture mentale, ne peut souffrir les doutes de ce jeune conseiller intrépide, bouillant et quelque peu arrogant en raison de son don d’intuition qui, dans un raisonnement, une analyse lui permet de parvenir très rapidement à des conclusions exactes, précises, voire irréfutables.

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La tapisserie de la dame à la licorne et le mystérieux sixième sens

Une superbe allégorie des cinq sens

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La  dame à la licorne : « Mon seul désir »

     Une magnifique tapisserie de la fin du Moyen-Âge, connue sous le nom de Tapisserie de la dame à la licorne, et exposée au musée de Cluny, illustre superbement les cinq sens. Sont ainsi représentés : la vue, l’ouïe, le toucher, l’odorat et le goût dans des scènes allégoriques aisément interprétables comme représentations des «sens du dehors», ainsi que nous appellerons ces sens qui nous ouvrent sur le monde. La tapisserie, parsemée de fleurs et de petits animaux, met en scène des figures féminines dont la principale, la dame, est accompagnée parfois d’une demoiselle, d’un lion et toujours d’une licorne. La dame réalise des actions explicites ; dans le panneau de la vue, elle tient le miroir dans lequel se mire la licorne, dans celui du toucher, la dame saisit la corne de l’animal mythique d’un geste élégant ; l’ouïe est évoquée par un guide-chant dont la dame effleure les touches ; parfois des animaux, comme le singe de l’odorat, soulignent la signification de la tapisserie. Il n’est pas douteux que le thème de la licorne, cet animal doux et bienveillant qui n’exista jamais hors de l’imagination des poètes, mais fut abondamment représenté dans l’iconographie médiévale, contribue à valoriser ces sens que l’on comptait au nombre de cinq depuis la plus haute antiquité.

Un mystérieux sixième sens

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