Ma profession de foi philosophique et existentielle
Je suis né citoyen libre de la terre, notre bien commun et indivis, cercle et ultime lieu de ma vie et/ou de mon existence. Et je serais viscéralement « terronaute », à l’instar des oiseaux migrateurs, si les Etats, oeuvres factices de la raison humaine, n’avaient érigé des barrières entre moi et les autres habitants de la terre, qui ne demandent qu’à partager leur humanité avec tout le monde.
Je suis né libre parmi les membres d’une population qui a fait de la liberté et de l’égalité, en son sens absolu, les premiers principes de la Loi fondamentale de son entité sociale. Et bien que faible et pauvre par rapport à des sociétés militairement et politiquement puissantes, locales ou étrangères, elle n’a jamais plié l’échine pour obéir à quelque autorité que ce soit, si ce n’est toujours à soi-même. Et telle est sa dignité séculaire.
Je suis né libre au sein d’une forêt tropicale aussi dense, vivante et aussi pure comme aux premiers temps de la Création. En celle-ci, nul ne craignait un autre parce qu’elle contenait encore l’expansion mortifère de l’espèce humaine, qui contient en soi tous les dangers possibles, c’est-à-dire les facteurs de destruction fatale. Aussi, le mal, en l’occurrence, le danger mortel éventuel, avait pour cause la rencontre fortuite d’un animal en état d’auto-défense (morsure de serpent) et les pieds d’un homme déambulant et imprudent. Hormis ce cas, on y était aussi libre que le sont toujours certaines populations amérindiennes de l’Amazonie, mis à part la folie de leurs contemporains extérieurs à leurs sociétés.
Je suis né dans une famille riche où l’on m’a enseigné le détachement absolu par rapport au goût, doux et amer, de l’amour de l’argent ; et aussi aux charmes des biens matériels de ce monde. La philosophie de mon père était la suivante : « Dieu accorde à certains êtres humains la grâce et les moyens d’acquérir un certain niveau d’enrichissement ; mais pour que ces richesses soient, par eux, distribuées aux autres, à ceux qui en sont privés. Ce ne peut être une pure accumulation pour soi seul, ce qui est absurde, ni une thésaurisation égoïste. Pardonne-moi, mon fils, si je fais don de mes biens aux autres ». Fidèle à sa philosophie, il mourut pauvre, sans plainte aucune ; et il fut célébré par le monde qui bénéficia de ses largesses, voire par bien d’autres.
Aussi, je crois en la vertu de la solidarité, à la possibilité d’édification de projets communs dans l’intérêt d’un ensemble humain donné.
En revanche, ce père qui ne put me léguer une fortune quelconque, me fit don du plus beau cadeau qui se puisse être accordé à quelqu’un. Ses moyens financiers me permirent de faire de longues études universitaires ; ce qui me donna la possibilité d’acquérir le plus de sciences possibles en vue d’ouvrir ma conscience à l’universel, à l’attachement à l’Humanité en sa totalité. Car je fus instruit par mon père et éclairé par mes études humanistes (PHILOSOPHIE ET SCIENCES HUMAINES) dans le respect et l’amour du prochain. Toutes ces instructions me permirent d’acquérir des vertus qui m’inclinent toujours à me sentir bien en la compagnie de tout être humain. A l’inverse, je témoigne toujours du mépris pour les bassesses humaines, « la bête immonde » tapie au fond de quelques malheureuses personnes parmi nous ; et en tout temps. C’est la lie de l’Humanité qui est cause de tous les désastres (humains) dans le monde.
Aussi, je crois viscéralement en la beauté et grandeur de l’intelligence humaine, et en la bonté et magnanimité du cœur humain. Car ces deux facultés nous donnent la force d’aspirer à l’accession à notre surhumanité, état d’un monde paisible et fraternel, c’est-à-dire réconcilié avec soi-même.
Titres universitaires
Etudes de théologie à l’Institut catholique de Lyon
Diplômé de l’Ecole des Hautes Etudes en Sciences sociales de Paris ;
Docteur en Philosophie (Paris IV-Sorbonne) ;
Docteur en anthropologie sociale et ethnologie (Université Blaise Pascal de Clermont) ;
Chercheur indépendant en anthropologie ;
Essayiste, écrivain et poète ;
Conférencier et intervenant depuis 2000 en géopolitique, philosophie, anthropologie
Enseignant.
Cours à l’Institut de Sciences politiques de Lyon (DEASC)
Je crois en l’application stricte et absolue des Conventions ou Lois fondamentales de l’Humanité comme les suivantes :
Publication :
En vente sur Amazon
-Pour que chaque jour soit été, Atticus, Grenoble, 1998, recueil de poèmes, 92 p.
-To Eskhaton, le triangle de la mort, Grenoble, Thot 2000, 559 p.
–La solitude du mutant- Eloge de la bi- Grenoble, Thot, 2001, 426 p.
En vente chez l’éditeur
-Structure apparente, structure invisible. L’ambivalence des pouvoirs chez les Lyéla du Burkina Faso, Thèse de doctorat d’anthropologie sociale et d’ethnologie, publié et diffusée par l’Atelier National de Reproduction des thèses –Université Lille III, 2004, 373 p.
–Une autre approche de l’anthropologie : études sériées de phénomènes humains, Editions Lierre et Coudrier-La Paguère, mise en ligne en 2006 In « Revue Hommes-et-Faits », 365 p.
–Eve, Filles d’Eve : le Féminin intemporel- Vanité du soi-disant sexe fort-, Paris, Thélès, janvier 2008, 264 p.
En vente chez l’éditeur ou sur Amazon
–Des pouvoirs réels du sorcier africain-forces surnaturelles et autorités politiques chez les Lyéla du Burkina Faso –(L’Harmattan septembre 2009, 452 p)
– Pourquoi l’Afrique si riche est pourtant si pauvre ?-De la faillite des élites de l’Afrique subsaharienne tome 1(Editions Le Manuscrit, juin 2010, 449 p)
– Pourquoi l’Afrique si riche est pourtant si pauvre ?- Tome 2 La Malédiction du pouvoir politique. Quel espoir des peuples de demain ? (Editions Le Manuscrit, Paris, 2011)
– Le génie du cerveau humain et ses merveilles Tome 1 – De l’anthropologie quantique comme science ultime de l’homme (Editions L’Harmattant, avril 2015, 262 p)
– Le génie du cerveau humain et ses merveilles Tome 2 –Anthropologie quantique et technoscience (Editions L’Harmattant, mai 2015, 202 p)
En vente en librairie, chez l’éditeur ou sur Amazon
– Les amours brisées d’un philosophe africain des Lumières (Mon Petit Editeur, Paris 2012)
– Algies Nocturnales (Recueil de poèmes en avril 2013)
–Un gentilhomme français sous les tropiques pendant la colonisation (Edilivre, été 2013)
–Bio-anthropologie de la sexualité
Première Partie
–Au cœur de la question de l’homosexualité : entre nature, controverses et théologie de la christophanie
Suivi de la deuxième Partie
-Bio-anthropologie de l’hédonisme féminin : le passage de la polyandrie à la polyandrogynie est-elle conforme aux lois de la vie ? (Edilivre avril 2014)
La possibilité d’écouter l’émission de radio « Lecture avec… »
http://www.mailmovement.com/mm-radio-lecture-avec-pierre-bamony/
Déclaration universelle des droits de l’homme
(Le 10 décembre 1948, les 58 États Membres qui constituaient alors l’Assemblée générale ont adopté la Déclaration universelle des droits de l’homme à Paris)
Article 18
Toute personne a droit à la liberté de pensée, de conscience et de religion…
Article 19
Tout individu a droit à la liberté d’opinion et d’expression, ce qui implique le droit de ne pas être inquiété pour ses opinions et celui de chercher, de recevoir et de répandre, sans considérations de frontières, les informations et les idées par quelque moyen d’expression que ce soit.
Déclaration Des Droits DE L’HOMME ET DU CITOYEN
(Constitution du 24 juin 1793)
Le peuple français, convaincu que l’oubli et le mépris des droits naturels de l’homme, sont les seules causes des malheurs du monde, a résolu d’exposer dans une déclaration solennelle, ces droits sacrés et inaliénables, afin que tous les citoyens pouvant comparer sans cesse les actes du gouvernement avec le but de toute institution sociale, ne se laissent jamais opprimer, avilir par la tyrannie ; afin que le peuple ait toujours devant les yeux les bases de sa liberté et de son bonheur ; le magistrat la règle de ses devoirs ; le législateur l’objet de sa mission. – En conséquence, il proclame, en présence de l’Etre suprême, la déclaration suivante des droits de l’homme et du citoyen.
Article 7. – Le droit de manifester sa pensée et ses opinions, soit par la voie de la presse, soit de toute autre manière, le droit de s’assembler paisiblement, le libre exercice des cultes, ne peuvent être interdits. – La nécessité d’énoncer ces droits suppose ou la présence ou le souvenir récent du despotisme.
Article 9. – La loi doit protéger la liberté publique et individuelle contre l’oppression de ceux qui gouvernent.
Article 33. – La résistance à l’oppression est la conséquence des autres Droits de l’homme.
Article 34. – Il y a oppression contre le corps social lorsqu’un seul de ses membres est opprimé. Il y a oppression contre chaque membre lorsque le corps social est opprimé.
Je suis fier de ma race et vous m’avez donne le goût de la philosophie
Eh bien, cette race a beaucoup plus de noblesse que les préjugés des peuples ont imposé de le croire. A cet effet, dès que j’aurais quelque disponibilité (et d’ores et déjà, je suis en train d’effectuer des investigations à cet effet), je vais démontrer, à travers l’exemple de l’humanisme exceptionnel de Nelson Mandela, la grandeur des peuples noirs dans leur ensemble.
Bon courage en tout ce que vous faites.