Présentation

    Sur notre commune terre, au sein de toutes les cultures humaines, depuis l’émergence de l’ Humanité on assiste à des phénomènes étranges, mystérieux dits paranormaux que notre commune raison échoue à expliquer – et ces phénomènes sont considérés comme tels au regard de son impuissance à en rendre compte-. Pourtant, face à cet échec manifeste elle n’a pas le courage d’avouer son incapacité. Pour conserver l’ordre de son triomphe, elle rejette tous ces faits dans le domaine de l’irrationnel… A force de considérer le monde du raisonnement commun, cette méthode indispensable pour construire et conduire une analyse logique acheminant au vrai, comme un processus désormais naturel, on a fini par oublier l’origine de ce procédé de la pensée rationnelle et/ou scientifique. En effet, après avoir observé la régularité des phénomènes physiques qui, dans leur mouvement, semblent être soumis à la nécessité, c’est-à-dire à un processus rigoureux immuable ne souffrant d’aucune fantaisie, ni arbitraire, Aristote (IVe siècle av. J.C.) s’est mis à la construction logique de la pensée et de la connaissance rationnelle subséquente. En d’autres termes, son ambition a été de bâtir un modèle de la pensée rationnelle qui soit comme le miroir humain de ce qui se passe dans la Nature.

   Or, de nos jours, le monde entier ayant subi une mutation universelle sous la figure de la civilisation occidentale, en est venu à raisonner, désormais, suivant les normes de la raison « aristotélo-cartésienne ». C’est ce qui a rendu possible la circulation des scientifiques, des ingénieurs et autres technologues dans toutes les zones du monde.

       La voie que nous avons choisie d’explorer pour comprendre le complexe et les champs des réalités humaines vise à faire usage de toutes les sciences au service d’une rationalisation des mondes humains ; l’essentiel étant d’atteindre un horizon qui illumine des champs obscurs ou inconnus, et qui lève quelques voiles sur la nature des phénomènes, y compris jusqu’au coeur de la substruction des mondes visibles ou invisibles. Car pour nous, l’essentiel de la science consiste non pas à dire toujours la même chose, mais à pouvoir pénétrer dans le vaste champ de la substruction de l’Etant pour y prélever des vérités. Un tel cheminement nous permet d’accéder à la conscience et à la connaissance de ce qui est ; sans pour autant lui donner une figuration particulière. En d’autres termes, il s’agit d’opérer une sorte d’effraction de la structure de notre vision scientifique qui est sculptée dans le marbre et le diamant depuis près de 4000 ans.

Pour comprendre ce sens réel de ce livre

I- Méthode

Dans ce livre publié récemment chez L’Harmattan, Le génie du cerveau humain et ses merveilles, j’ai entrepris une étude des phénomènes humains et matériels tout à fait novatrice. Ce n’est point une recherche sur la connaissance du cerveau humain, à l’instar des neurosciences qui effectuent des investigations par champs, par portions par zones etc., comme si cet éminent organe était décomposable. Bien au contraire, dans sa complexité, il s’agit de comprendre ses pouvoirs, par exemple, les prouesses des cerveaux quantiques, comme les thérapies quantiques, la prescience etc. J’explore les manifestations diverses au passé et au présent de notre cerveau en mobilisant toutes les sciences nécessaires à cet effet. Une telle nécessité m’a conduit à une théorisation de ces phénomènes qui donne naissance à une vision nouvelle de nos modes de connaissance ou de compréhension. En effet, je me fonde sur des faits concrets pour accéder à leur conceptualisation. Car la raison philosophique, pour autant qu’on consente à en être totalement instruit, comme jadis, nous permet de comprendre les problématiques majeures des sciences sans être prisonnier du paradigme d’une science quelconque. Mieux encore, elle nous ouvre les portes à une compréhension universelle des savoirs, quels qu’ils soient, même sans une formation technique en quelque science que ce soit ; laquelle enferme davantage l’intelligence humaine dans un champ particulier des sciences bien plus qu’elle ne l’amplifie  à la manière d’une raison universelle des phénomènes.

II- les thématiques de Le génie du cerveau humain et ses merveilles

    Dans le premier tome, je propose, entre autres facteurs, deux nouveaux concepts majeurs en science, à savoir le NEEPRON, particule-mère de laquelle dérivent toutes les autres formes que l’on connaît déjà ; et surtout l’UPONIS qui figure l’unité de la Matière. De ces données et sous leurs formes matière/énergie, on comprend aisément la nature, les performance, les singularités et les pouvoirs extraordinaires des cerveaux que j’appelle quantiques.

     Dans le second tome, je montre plus particulièrement ces pouvoirs à partir de faits concrets d’hier et d’aujourd’hui en montrant comment, par et même dans leurs manifestations, ces pouvoirs dépassent infiniment les champs d’exploration de la conscience. En réalité, malgré tous ses efforts, celle-ci n’est rien d’autre qu’un tout petit Hublot imparfaitement ouvert sur l’immensité des dimensions de la Matière et sur soi-même.

III- les lignes de force de ces investigations

   Donc, qu’il s’agisse du premier tome ou du second, il y a des gains de sens nouveaux que ce livre apporte à la compréhension des phénomènes humains et matériels et lève le voile sur des méthodes de thérapie quantique qui ne se comprennent qu’à la lumière des modes de circulation des ondes/particules dans les champs subatomiques. Nous comprenons mieux les faits que nous croyions être des mystères, des miracles. J’ouvre ainsi une nouvelle vision des phénomènes qui peut conduire à dépasser les paradigmes en sciences en opérant de nouvelles perspectives de compréhension, ou de connaissances de ceux-ci. Ces données nouvelles bouleversent notre vision classique des choses et du traitement des maladies. Mais, l’essentiel tient au fait que je lève des voiles sur les pouvoirs extraordinaires du cerveau humain. 

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