Des pouvoirs supranormaux de certains êtres humains : nous ne sommes pas égaux par rapport aux connexions neuroniques de notre cerveau

Introduction : une autre vision (ésotérique ?) des savoirs humains

Un être humain qui aussi libre dans les profondeurs d’une mer comme un poisson


  Tout ce qui est traité dans ce texte relève de croyances et de savoirs – non pas à proprement parler de sciences rationnelles – dérive d’une de perception des phénomènes dans le cadre général des mouvements du « New Age », un mouvement spirituel né aux Etats-Unis et dans les pays anglo-saxons. Les pays francophones seront sensibilisés à ce phénomène plus tard. Déjà, cette expression « Enfants indigo » interroge forcément ceux que des études universitaires ont façonné la raison ou l’intelligence à penser autrement les faits humains. C’est à comprendre ce type de savoirs humains que se comprennent ces données synthétiques d’un ensemble de croyances plus vastes.

   A propos des « Enfants indigo », Wikipédia écrit : « Enfant indigo est une expression issue de la pensée New Age et plus spécifiquement portée par Lee Carrollpseudo-scientifique et occultiste. Elle désigne une catégorie nouvelle d’enfants qui serait apparue pour aider le monde à s’élever. Ces « enfants du 3e millénaire »1 seraient caractérisés notamment par des troubles du comportement ou du développement censés découler d’un environnement qui serait inadapté à leur haut potentiel. Dans une évolution du New Age, les enfants cristal sont introduits, les enfants indigo étant censés préparer l’arrivée des enfants cristal.

Lire la suite

Des pouvoirs politiques traditionnels et de leur avatar démocratique post-occupation des territoires africains par des puissances européennes

Des figures historiques d’hommes de pouvoir en Afrique subsaharienne

Résumé

   Le penseur Joseph Ki-Zerbo fait le bilan de son existence dans son dernier ouvrage, A quand l’Afrique ? Il s’agit de ses combats politiques pour que l’Afrique noire connaisse une voie de développement authentique (endogène), c’est-à-dire conforme à ses propres valeurs. Or le constat qu’il donne concernant les politiques et les figures de développement des pays africains postindépendance semble plutôt désastreux. Au regard des diverses trahisons des élites politiques africaines par rapport aux intérêts de leurs peuples respectifs qu’elles abandonnent à leur sort dans la misère, l’auteur accorde une grande importance à l’art de gouverner des pouvoirs politiques autochtones. Ils avaient un supplément d’âme quant au sort des peuples africains.

    Il montre également ses propres échecs dans son engagement politique en Haute Volta/Burkina Faso. Car son « Mouvement pour la libération nationale », interafricain ou panafricain dont l’ambition était de libérer les peuples africains de toutes les tutelles et dominations politiques, étant jugé subversif par la puissance de tutelle, en l’occurrence la France, et ses suppôts à la tête des pays africains dits indépendants, n’a pu trouver sa place dans aucun régime politique de son pays. Il mentionne rapidement ses rapports avec Thomas Sankara en 1983 et les raisons de son exil.

Lire la suite

Des langues autochtones et des langues des cultures de l’écrit

Introduction   

    Joseph Ki-Zerbo dont on parle peu dans certaines universités de l’Afrique noire, est un grand savant, le plus grand historien de l’Afrique noire contemporaine et un grand penseur. C’est à ce titre qu’il propose dans l’ensemble de ses œuvres majeures une vision du monde qui permet de bien comprendre les problématiques capitales de l’Afrique contemporaine. Certes, dans son éducation, en tant qu’intellectuel et savant, il a analysé les problèmes, les handicaps du continent noir, d’une part ; d’autre part, l’aveuglément et la faillite des intellectuels de son temps qui avaient préféré perdre leur temps en de vains babillages, entre autres idéologiques, au lieu de s’attaquer aux problèmes de leurs pays respectifs. Certes, la véhémence de ses critiques lui avait valu des aboiements intempestifs de roquets ou des petits esprits qui n’arrivaient même pas au niveau de son talent en matière de réussite personnelle dans le monde de la culture et de l’intelligence. Ils lui mordaient le talon non dans le sens d’une prise de position intellectuelle sensée, constructive, mais dans celui des critiques stériles. Ceci portait, à leur insu, le discrédit de leur niveau d’études universitaires, de leur statut d’intellectuels, etc.

Lire la suite

SENS DU JEU DANS LA VIE HUMAINE : éducatif et divertissant

Le jeu est roi chez les êtres humains

Une brève introduction

    De manière générale, l’objectif des jeux consiste, d’abord, à éduquer les enfants, ensuite, à divertir les gens. Ainsi, on sait que c’est par les jeux entre les parents et leurs enfants, dès la tendre enfance, que ceux-ci, comme une nécessité, commencent à éveiller les enfants aux réalités du monde. Car c’est par le jeu que les enfants découvrent et comprennent le monde qui les entoure. Tout en s’amusant, ils travaillent sur des aspects essentiels de leur développement, notamment le renforcement de leurs compétences motrices, cognitives, sociales et émotionnelles. Dès lors, le jeu est le principal outil par lequel l’enfant apprend. En jouant, il découvre le monde qui l’entoure et acquiert la maîtrise de certains éléments de son environnement.

Lire la suite

LA CONSTITUTION D’UNE SCIENCE DE L’HOMME – Exemple : la Psychologie

Le cerveau, organe sommital de l’être humain, le plus énigmatique qui soit et dont dérivent toutes les sciences de l’esprit comme la psychologie

Introduction : Place de la psychologie parmi les sciences humaines

   La psychologie se situe à mi-chemin entre la biologie et la sociologie. Du moins, Auguste Comte classifiait ainsi les Sciences. Littéralement, c’est un corps de sciences qui vise à connaître les activités mentales et les conduites des êtres humains. La psychologie est complexe en raison même de son étymologie du grec ancien. Elle drive d’un terme grec coupé en deux racines : psukhè, qui qualifie l’esprit ou l’âme et désigne l’ensemble des fonctions psychiques du sujet humain ; et logya qui concerne la science et les recherches en psychologie. Et si la psychologie se trouvait au sommet de l’édifice scientifique, du moins au XIXe siècle, c’est en raison de la complexité de son objet. Quoi de plus complexe, en effet, que la pensée ? De plus complexe que les états de l’âme humaine ou les comportements de l’être humain ? De plus complexe que la constitution ternaire de l’être humain et leurs problèmes spécifiques ?

Lire la suite