Qu’est-ce que Le mal ?

« Vendredi 13 novembre, 21h 20, LA TERREUR A PARIS »

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« Au Bataclan, « du sang partout, des cadavres»

Au moins 80 personnes ont été tuées dans cette salle de spectacle du 11e arrondissement de la capital.

Dans les premières secondes, les spectateurs croient à une pétarade accidentelle. « J’ai pensé qu’une enceinte avait explosé, puis les lumières se sont allumées. Les tireurs que j’ai vus avaient le visage dissimulé par des capuches et des écharpes », raconte Benoît. Il se trouvait près d’une des sorties de la salle et a réussi à s’échapper avec son amie.

A l’intérieur, la panique gagne la foule. Les gens se jettent au sol. « J’étais allongé dans la fosse, la fille à côté de moi est morte. Ils ont beaucoup tiré…

A l’intérieur de la salle de spectacle, les otages vivent un cauchemar. Les assaillants ont achevé les blessés au sol. « J’avais un morceau de chair sur moi, il y avait du sang partout, des cadavres », raconte un jeune homme, l’air hagard, des traces de sang séché sur son pantalon beige. Il fixe le parquet du bar dans lequel il s’est réfugié. Il assistait au concert avec son père, mais ignore à présent où se trouve ce dernier. « Peut-être avec les pompiers, peut-être mort ». Quand la fusillade commence, père et fils sont dans la fosse, près des barrières, à quelques mètres de la scène. Certains de leurs voisins tombent sous les balles. Tous sont à terre, les membres paralysés par la peur, corps contre corps, vivants contre morts … Dans les poches, les téléphones vibrent. L’attente dure presque deux heures, jusqu’à l’assaut{…}.

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Platon et la Réalité post-mortem Deuxième partie : Similitudes et confirmation de la théorie de Platon (IVe avant J-C-) sur l’immortalité de l’âme par les travaux du Docteur Raymond Moody (XXe-Etas-Unis)

« L’homme ne meurt pas : il change de coquille pour accéder à l’état d’Energie » (In Pierre Bamony : Le génie du cerveau humain et ses merveilles, L’Harmattan, Paris 2015)

 Ryamod-Moody

I- L’histoire d’un livre-Docteur Raymond Moody : La vie après la vie (Robert Laffont, Paris 1977)

A- Respect des normes et des conditions d’une étude scientifique

   Raymond Moody est, d’abord, Docteur en philosophie et, ensuite, Docteur en médecine. À ce titre, poussé par la curiosité, l’étonnement, l’émerveillement philosophiques, il s’est intéressé aux expériences extraordinaires vécues par ceux d’entre les êtres humains (hommes et femmes) qui ont frôlé la mort accidentellement. Ils ont connu une mort « clinique » de quelques minutes, voire de quelques heures. Ce médecin s’est attelé à des investigations sur ces faits pendant plus de vingt ans en recueillant leurs témoignages. Ces expériences, de nos jours, assez abondantes, sont dues aux progrès des sciences et de la médecine qui permettent de sauver des vies dans des cas critiques. Pourtant, cela ne signifie pas que l’expérience de la mort temporaire n’existait pas auparavant. D’une part, à l’image de ceux d’aujourd’hui, les témoins n’osaient pas rendre compte de leur expérience en raison de la surdité du monde sur ce sujet tant redouté par l’humanité qu’est la mort. D’autre part, on ne disposait pas de suffisamment de moyens technologiques et médicaux pour sauver autant de vies qu’aujourd’hui.

     Docteur Raymond Moody a pu disposer d’une quantité considérable de témoins. Cependant, en vertu de sa rigueur scientifuque et de son souci d’objectivité, il a fait preuve de prudence dans le recueil et la sélection des témoignages. Il a pris toutes les précautions nécessaires pour éviter les critiques aisées des sceptiques, les attaques infondées ou fantaisistes. Malgré toutes ces dispositions nécessaires dans le cadre d’une recherche scientifique, la publication de ce livre a donné lieu aux États-Unis, en France et ailleurs à de vives réactions, souvent hostiles dont nous retiendrons les points essentiels.

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Platon et la Réalité post-mortem Première Partie : Enquêtes anthropologiques sur les formes de communication avec l’invisible et/ou existence humaine post-mortem

« L’homme ne meurt pas : il change de coquille pour accéder à l’état d’Energie » (In Pierre Bamony : Le génie du cerveau humain et ses merveilles, L’Harmattan, Paris 2015)

Introduction : Des limites de nos sens et de la conscience, fille superbe du sensible

     Depuis des millénaires, notre cerveau, par souci d’adaptation de l’espèce humaine à son environnement vital, a fini par y accoutumer nos sens ; voire notre conscience qui en résulte. Aussi, nous avons une propension naturelle à croire que ce que nos sens perçoivent du monde est le réel et à penser que ce que notre conscience comprend est vrai. Or, nos sens ne nous livrent pas le monde tel qu’il est ; et la conscience ne peut accéder au vrai qui semble nous apparaître comme prochain. Bien au contraire, elle l’envisage comme un lointain horizon d’enquête perpétuelle. Nos sens sont des instruments de plaisir ou de déplaisir et non des outils de connaissance. C’est en ce sens que Platon, le premier grand scientifique et l’un des plus grands génies de l’Humanité, a proposé le moyen pour chaque être humain de se transfigurer en ce monde, comme il nous invite à le faire tous dans son fameux ouvrage, La République (livre VII, § « allégorie de la caverne) pour accéder au degré de compréhension rationnelle des phénomènes. Si nos sens constituent notre nature, celle-ci, à l’instar de tout ce qui relève et provient du sensible, est nécessairement borné. Platon compare cette enveloppe charnelle à une « caverne » où chacun de nous commence sa vie terrestre comme l’expérience d’une ombre épaisse. Notre seule perception est celle d’une dimension : une surface sur laquelle se projettent des spectres, des ombres du monde réel situé hors de celui-ci. Habitués à ne devoir nous contenter que cette seule et fausse perception des phénomènes, nous en venons naturellement à ne vivre que de fictions, d’opinions, de préjugés, de convictions et de leurs dogmatismes ; d’illusions de toutes sortes. Puisque cette perception du monde est erronée , nous ne vivons que de croyances et non de connaissances. Dans cet état mental, nos scepticismes sont redoutables par rapport au vrai savoir lequel est seulement accessible par la sortie du monde de la caverne pour monter, souvent très difficilement, vers le monde de la lumière, des connaissances rationnelles fondées sur les symboles mathématiques et les concepts philosophiques.

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Kepler, Gaia : explorer l’espace à la recherche d’une nouvelle Terre

« Nous ne survivrons pas 1000 ans de plus sans s’échapper de notre planète devenue fragile », avril 2013, Stephen Hawking. Déjà en 2010, le plus célèbre physicien depuis Albert Einstein, expliquait que les humains devaient absolument coloniser l’espace dans les 200 prochaines années s’ils ne voulaient pas être victimes d’une extinction majeure. Un esprit aussi brillant qui tire la sonnette d’alarme et parle de coloniser l’espace ? Alors que Kepler arrive en fin de vie et que la mission européenne Gaïa s’apprête à débuter pour cartographier le ciel, il n’en fallait pas plus à la rédaction pour s’intéresser à ces systèmes planétaires et faire un tour d’horizon des autres mondes potentiellement habitables.
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